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Au sauna (histoire vraie)
Comme je l’avais dernièrement promis à un contact de X Hamster, je vais vous raconter mon passage dernier au sauna « Le réservoir » de Besançon que je fréquente de temps à autre.
En fait étant souvent occupé par des activités de volontariat, je m’absente assez régulièrement de mon domicile familial et cela me permet quelques escapades certains après-midi sous couvert de ces activités volontaires. Oui je sais je devrais avoir honte mais ce moment de honte est si vite passé…
Donc, tout le lundi j’ai assuré les fonctions de mon volontariat et le lendemain mardi, je ne prends que la matinée, le reste de la journée est à moi. Cap sur Besançon, le sauna ouvre à 14h00, pas de temps à perdre il est déjà 13h00, un sandwich en route fera l’affaire. Il me faut arriver au plus près de l’ouverture car la fréquentation dès l’ouverture est constituée de personnes plus actives qui repartent avant 15h00 certainement pour honorer leurs activités professionnelles. Après la période est en général beaucoup plus calme jusqu’à reprendre en intensité vers 17h00.
Me voilà enfin dans le quartier, la recherche d’une place dispo pour stationner à proximité est parfois un challenge, mais ce jour la chance semble me sourire, une place me tend les bras dans une rue parallèle.
Une fois garée, je me dirige vers l’établissement, discret, il faut savoir que c’est un sauna. Un porte blanche presque anodine, je rentre et règle mon entrée au réceptionniste en boxer qui est très sympa. Il me donne une serviette et l’étui qui comporte mon cadenas numéroté accompagné d’un préservatif et d’une dose de gel lubrifiant. Puis il commande l’ouverture de la porte qui me donne accès au vestiaire.
Je choisis un casier et y dépose mes affaires au fur et à mesure de mon déshabillage, le cadenas sur mon casier, la serviette autour du corps et je pénètre dans les lieux pour rejoindre les douches.
Attention au choix de la douche car certaines sont volontairement froides, mais l’habitude me permet de connaître suffisamment les lieux pour éviter une douche froide.
Le gel douche qui est mis à la disposition des clients est très agréable, une petite odeur d’amende, et surtout il ne pique les yeux ni un autre endroit que je m’amuse à nettoyer longuement de mes doigts dans l’objectif de le préparer un peu. Et je glisse une petite dose de ce gel dans mon conduit en guise de première lubrification.
Puis je pars à l’aventure et me dirige vers une zone sombre dont l’entrée est matérialisée par un sorte de rideau, l’endroit est le lieu idéal pour passer un moment bien chaud, il y fait quasiment noir et les mains sont donc très baladeuses pour remplacer la vue. Je pénètre dans l’endroit qui est assez exigu mais dans lequel une dizaine de personnes peuvent s’y tenir debout et assise sur une banquette. Dès l’entrée j’entre ne contact avec des jambes qui m’indiquent que quelqu’un est assis sur le banquette. J’approche encore et laisse courir ma main le long d’une jambe, ma main remonte et rencontre deux belles couilles volumineuses et terminent par la découverte d’une belle verge fièrement érigée. Ni une, ni deux, j’enveloppe le membre et commence à faire délicatement coulisser ma main pour le plus grand plaisir de son propriétaire qui gémit timidement.
Ma caresse se prolonge quelques minutes et je m’agenouille entre les jambes de l’individu pour introduire délicatement son membre dans ma bouche. Il ne s’y oppose nullement écartant un peu plus ses jambes pour faciliter mon approche. Son membre est de bonnes proportions mais sans plus et je peux sans difficultés l’introduire dans ma bouche et lui prodiguer une bonne pipe. C’est un de mes plaisirs favoris, je pratique la fellation assez fréquemment et nombreux sont les partenaires qui m’ont dit que je faisais cela très bien. J’aime insister avec ma langue sur le méat et autour du gland, en général cela génère presque toujours des gémissements approbateurs chez le partenaire. Le mien commence à montrer des signes de montée de plaisir annonciateur d’éjaculation et gentiment il me fait comprendre qu’il ne veut pas jouir de suite de manière à profiter un peu plus longtemps de son séjour au sauna. Je l’embrasse délicatement sur la bouche, me relève et quitte l’endroit pour me rendre vers un lieu que j’affectionne assez.
Un peu plus loin dans un passage sombre permettant l’accès à deux parties distinctes du sauna, se trouve une banquette basse sur laquelle on peut s’allonger. L’endroit est libre, j’y étends ma serviette et m’allonge sur le ventre les jambes légèrement écartées, les mains sur ma tête me permettant tout de même d’avoir un œil sur le passage.
Après plusieurs passages de clients qui m’ignorent, à chaque passage je peux ressentir le léger courant d’air, je sens soudain une main se poser sur mes fesses et les caresser ce qui me fait légèrement sursauter. Le contact est doux la main me caresse doucement et est rejoint par une deuxième qui s’attarde un peu sur mon entrejambe et ms testicules. L’individu s’assoit sur le bord de la banquette pour être plus à son aise et poursuit la découverte de mon fessier. Il en écarte délicatement les deux lobes pour tester la souplesse de ma rondelle qui encore humide du gel de douche. Un doigt inquisiteur se glisse dans mon anus m’arrachant un petit gémissement approbateur qui encourage mon bourreau à l’introduire en totalité pour mieux découvrir la douceur de mon antre. Ce manège dure plusieurs minute, un deuxième doigt à rejoint le premier, l’aitre main est caressante sur mes fesses et mon dos et me procure de délicieux frissons de bien-être.
Puis les doigts me délaissent et l’individu monte sur la banquette en se positionnant entre mes jambes qu’il écarte un peu plus. J’entends distinctement la déchirure d’un étui qui me laisse rêveur sur la suite des événements. Je ne sais même pas comment est le sexe qui va bientôt me pénétrer, peut-être est-il hors du commun et va me faire souffrir. L’homme se couche sur mon dos en m’embrassant légèrement dans le cou et me glisse à l’oreille « tu es prêt pour la suite ?». Je réponds un timide « oui, vas-y » tout en glissant mon bras entre nos deux corps pour découvrir le calibre du membre de l’homme. La bite est respectable mais dans la norme, elle est d’une fermeté qui est de bon augure, et la capote est bien en place.
Je me laisse donc faire soumis sous mon homme, le gland vient en contact avec ma rondelle et son propriétaire force doucement pour l’ouvrir. Je sens mes sphincters céder doucement la place à l’intrus qui progresse en moi me provoquant une très légère douleur et un gémissement plaintif qui me vaut un nouveau baiser dans le cou. Puis c’est la totalité du sexe qui m’investit doucement jusqu’à sentir les testicules de l’homme cogner contre mon entrejambe. Je suis totalement embroché et la sensation d’être rempli est totale. Puis après quelques instants pour me laisser m’habituer à cette intrusion, le va et vient commence doucement puis plus amplement, en me faisant gémir régulièrement de plaisir. Mon érection est complète mais comprimé par mon corps allongé, mais c’est mon anus que j’ai particulièrement sensible qui me donne le plus de plaisir et je ne cherche même pas à me caresser.
Mon homme s’active dans mon fondement en me complimentant sur mon petit cul qu’il semble adorer. Il me vante son étroitesse qui lui enserre bien sa bite et qui est un vrai bonheur. Pendant ce temps un autre mec s’est arrêté dans le passage pour profiter du spectacle qui le met dans les meilleures dispositions compte tenu de la belle érection qu’il affiche. Son sexe est long et épais et légèrement incurvé vers le bas. Après avoir profité du spectacle quelques instants, il s’approche de moi et me propose sa verge comme gourmandise. Je ne fais pas prier et attaque du mieux que je peux une pipe à l’organe. Tous mes orifices sont occupés et comblés par de belles tiges que je cherche à satisfaire au mieux.
Mon enculeur s’active et je sens soudain qu’il m’occupe plus magistralement en grognant de plaisir. Sa verge par longues saccades se libère dans le fin réceptacle et l’homme s’affaisse sur moi en soufflant son plaisir. Satisfait il se retire, mon orifice encore largement dilaté me donne une drôle d’impression de vide, mais très rapidement le trou béant est investi par le sexe qui a juste quitté ma bouche il y a quelques secondes. Inquiet, je cherche sa verge introduite dans mon cul et constate l’absence de capote. Je l’oblige brutalement à sortir pour s’équiper et me laisse alors pénétrer par cette queue plus volumineuse que la précédente.
La chevauchée est rapide et il se libère en peu de temps dans mon anus protégé.
Satisfait mais un peu fourbu, je me dirige vers les douches pour me retaper un peu et l’eau tiède m’aide à apaiser l’inflammation qui me rappelle mes dernières visites anales.
(À suivre)
Le gel que j’utilise pour me nettoyer plus intimement me pique un peu preuve que j’ai sérieusement dégusté avec ces deux bites successives.
Puis après cette douche réparatrice, je me sens à nouveau d’attaque pour profiter de l’endroit et de la petite heure qui me reste avant de devoir rentrer compte tenu de mon délai de route.
Je vérifie de disposer encore d’une capote et de gel dans mon étui que j’ai au mollet, je prends une dose de gel au distributeur, m’isole dans une cabine et me lubrifie copieusement le conduit au cas où…
Je me dirige à nouveau vers le lieu sombre que j’avais initialement visité, il semble y avoir personne tellement il fait noir et tout en avançant à tâtons je rencontre soudain un autre corps plaqué contre le mur du fond de l’endroit. La personne offre son dos et ses fesses à mes mains et je n’hésite pas une seconde à partir à leur découverte. L’individu me semble d’une taille égale à la mienne, son corps est plutôt musclé sans trop et ses fesses sont petites et fermes. Il me semble bien plus jeune que le quinqua que je suis. Je caresse avec plaisir ses petites fesses qui sont particulièrement douces car exemptes de toute pilosité. Mon autre main part à la découverte de son ventre aux abdominaux biens marqués et remonte doucement vers la poitrine pour caresser son téton qui se durcit soudainement sous ma caresse.
Je sens la main de mon partenaire partir à la recherche de mon sexe que ma serviette entoure encore. Je lui facilite la tâche en défaisant ma serviette et en la positionnant autour de mon cou.
Il peut alors à loisir s’assurer de la dimension et de la vigueur de mon érection que la douceur de son petit derrière a su réveiller en moi. Il masturbe lentement mon organe en me caressant de temps en temps les couilles, moi je continue ma caresse sur ses petites fesses et insinue doucement un doigt entre elles pour tester l’élasticité de son antre. Son anus est porte bien le nom de rondelle, car je sens un petit trou bien circulaire dont le pourtour est imberbe. Je cherche à rentrer doucement mon doigt qui rencontre quelque difficulté à investir l’endroit qui est particulièrement serré. Je le retire pour le lubrifier d’un peu de ma salive et je retourne à l’assaut. L’anus se laisse alors doucement conquérir et son propriétaire émet un léger gémissement d’approbation.
Ce petit jeu de mains et de doigt dure quelques minutes et notre plaisir est mutuel. Mon partenaire se décolle alors du mur pour venir mettre ses mains en appui sur la banquette à sa gauche, le corps penché vers celle-ci offrant plus encore son postérieur à mon doigt fureteur qui est maintenant bien enfoncé dans son conduit. L’intérieur est tiède et d’une attirante étroitesse. Rien à voir avec les culs qui se font tellement ramoner que l’on a l’impression de nager dedans.
Le jeune homme semble apprécier mon l’exploration de mon doigt et gémit de plus en plus souvent à tel point que je retire mon doigt pour me saisir d’un préservatif dont je m’équipe et je présente mon gland à l’entrée de ce petit derrière. Malgré la pression que j’exerce sur l’anus celui-ci résiste à s’ouvrir, et après plusieurs tentatives infructueuses, je déchire l’emballage d’une dose de gel pour en garnir abondamment l’anus mutin et ma verge qui s’impatiente.
Je ne suis pourtant équipé comme un âne, mais mon sexe en malgré tout dans la bonne moyenne et ce petit cul est digne d’un puceau. Je me présente à nouveau entre les petites fesses, la verge maintenue d’une main ferme, et je pousse mon gland contre ce petit trou du cul. Le gel semble faire son office car les gémissements de mon partenaire montent en puissance quand mon gland investit doucement son conduit. L’anneau m’enserre le gland comme je l’ai encore jamais ressenti et je poursuis ma progression dans les entrailles de mon partenaire qui souffle de plus en plus forts, gémit maintenant sans retenu et souffre certainement aussi un peu.
Tout me sexe l’investit, et bien calé en lui j’attends qu’il s’habitue à cette intrusion avant commencer à le limer. D’une de ses mains il part à la découverte de mes testicules qu’il caresse pour me faire comprendre que je peux maintenant m’activer en lui. Je n’hésite pas un instant et je commence à le baiser, d’abord doucement puis au fil de ses gémissements qui m’encourage je le besogne de plus en plus profondément à chaque mouvement.
Notre activité et nos soupirs n’a pas laissé insensible un visiteur qui s’est approché de moi et accompagne mes mouvements de sa main sur mon postérieur. Cette caresse m’est très agréable et je le laisse volontairement se positionner contre mes fesses pendant que je m’active dans mon partenaire. Sa verge sur mes fesses me semble de bonne longueur et un de ses doigts cherche mon derrière qu’il pénètre sans trop de difficulté compte-tenu des visites qu’il a déjà connu.
Il me fourre l’anus de ses doigts pendant que je lime mon partenaire et chacun de mes mouvements de retrait enfonce alors son doigt. C’est un vrai régal, l’enculeur enculé. Mais le manège évolue quand je sens que le doigt est rapidement remplacé par sa verge. Ma main part à sa rencontre et constate avec soulagement que le nouveau venu s’était déjà équipé, il avait prémédité sa participation. Il s’enfonce alors brutalement dans mon fondement qui n’oppose aucune résistance sauf à m’occasionner une légère douleur qui me fait pousser un grognement indicatif. Mon jeune enculé comprend ce qui vient de passer car sous la pression de la bite qui m’encule je viens d’arrêter mes mouvements et il s’empresse de me caresser à nouveau les testicules tout en cherchant à vérifier la fermeté du mandrin qui m’encule.
Notre trio s’active à nouveau, le mouvement de la bite dans mon cul bat la mesure de notre partition et je sens que je vais rapidement jouir tant ma verge est divinement enserrée dans le fourreau du jeune homme que j’encule, et tant mon anus et ma prostate sont stimulés par le morceau de chair qui me défonce le cul.
Dans un grand râle de jouissance je me libère dans l’anus de mon partenaire qui se branle frénétiquement. En longues giclées successives, je remplis de mon foutre le capote qui m’équipe et dans mon dos un grognement suivit de plusieurs contractions significatives m’avertissent que mon enculeur jouit à son tour. La verge grossit encore dans mon cul durant cette éjaculation ce qui m’occasionne encore quelques gémissements compte-tenu de la sensibilité qui règne dans mon conduit.
Puis nous nous désaccouplons satisfaits et vidés, et quittons l’endroit. Quelques instants après m’être remis de mes émotions, je décide de me doucher avant de me rhabiller pour quitter l’établissement, et j’imagine que le jeune homme que je vois en train de se doucher, moins de 25ans, un petit cul adorable, est certainement celui que j’ai baisé.
Je quitte par la suite le sauna, content de mon escapade, chaque pas que je fais entraîne une légère gêne anale qui rappelle les délicieux moments que j’ai passés dans ce sauna.
Sur le chemin du retour, je suis déjà en train de chercher dans mon emploi du temps l’opportunité d’y retourner…