Dimanche 3 janvier 7 03 /01 /Jan 19:04

Plage « Les Combots »

 

Grace au confinement qui nous donne le temps d’écrire, je vais vous raconter une aventure véridique qui m’est arrivée il y a quelques années sur la côte Royannaise.

Disposant de certains membres de ma famille à proximité de Royan, il m’arrive assez régulièrement de leur rendre visite pendant la saison estivale et parfois hors saison lorsque la côte est moins fréquentée, mais cette aventure m’est advenue à l’occasion d’un de mes séjours d’été.

Connaissant bien la région pour y avoir vécu moi-même, désormais mes activités professionnelles m’en ont bien éloigné, je sais que la plage naturiste « Les Combots » sur la grande côte à Saint-Palais en direction de la Palmyre, mais surtout les dunes boisées qui la bordent sont propices aux rencontres plutôt masculines et je la  fréquente dès que l’occasion me le permet. Je précise plutôt masculine car il est vrai que le coin est principalement fréquenté par les homo. Les bisexuels y sont aussi assez représentés et les couples s’adonnent parfois à l’exhibition à l’écart de la plage. Je pourrai vous raconter les diverses aventures et moments chauds que j’y ai vécu mais cela prendrait trop de temps aussi je me contenterai de vous rapporter une aventure qui est resté gravé dans ma mémoire tant elle fut agréable.

Etant en famille, la bienséance ne me permettait pas de l’abandonner l’après-midi aussi je profitais assez régulièrement de la matinée, alors que les femmes étaient en courses ou au fourneau, pour aller un peu me promener seul ou faire semblant d’aller pêcher…on sait que le poisson n’est pas affamé tous les jours et une bredouille n’étonne plus.

Ce jour-là donc, par une matinée douce et ensoleillée, je me rends de bonne heure en voiture sur le parking de la plage « Les Combots ». Il y a peu de voitures car il est juste 10h, mais le rush des vacanciers ne saurait tarder. Je suis légèrement vêtu, tee-shirt, bermuda et sandales. Je prends le côté de la piste cyclable pour rejoindre un chemin qui donne accès à la plage un peu plus loin sur la gauche et qui est le domaine des mecs en quête de rencontre.

Le coin est plutôt tranquille pour l’instant, je prends ensuite le sentier qui mène vers la plage quand j’aperçois sur ma droite un couple qui est arrêté dans les fourrés à une vingtaine de mètres à l’écart. Ils se tiennent là debout et dans un premier temps j’essaie de ne  pas m’approcher pour éviter de les importuner car il y a aussi potentiellement des promeneurs et des familles, tous ne sont pas systématiquement des adeptes des plans cul.

Cependant l’attitude de ce couple dont l’homme me voit et me regarde ostensiblement alors que madame est de dos me décide à me rapprocher un peu. Je constate alors que monsieur est en train de caresser les fesses de madame. La jupe est relevée et il semble prendre plaisir à exhiber les fesses de sa partenaire dont une adorable petite culotte essaie vainement de masquer les formes attrayantes. Mon approche ne génère aucune gêne de la part de l’homme qui continue à profiter des fesses qui lui sont offertes tout en me regardant.

Je m’approche encore et ma présence est maintenant révélée à  madame et cela ne semble pas les perturber le moins du monde. Arrivé à leur hauteur, je m’enhardis donc un peu et mes mains se joignent à celles du mari pour flatter la croupe de madame qui en tournant la tête me dévisage alors en souriant.

Puis nous engageons discrètement la conversation. Ils m’expliquent qu’ils sont en vacances et qu’ils ont appris par internet que cette plage était un lieu de rencontre et qu’ils ont décidés d’aller y faire un petit tour matinal pour voir et profiter éventuellement du lieu. Je leur explique donc les habitudes du secteur plutôt homo et bi, mais parfois fréquenté par des couples naturistes. Sachant que le coin risque de ne pas rester calme longtemps, je leur propose de rentrer un peu plus dans les bois qui bordent la plage pour être à l’abri du va et vient des possibles voyeurs  et de la lourdeur de certains.

Accompagné de Myriam et de son mari Bernard, nous avons fait rapidement connaissance, je les guide vers un endroit plus propice à l’intimité que nous souhaitons.

Myriam est une belle femme certainement proche de la cinquantaine bien conservé et affriolante dans sa petite robe légère à bretelles. Bernard est dans la même tranche d’âge, allure très classe, svelte et sportive, en chemisette et un pantalon clair en toile. Charmant petit couple.

Après quelques minutes de progression au sein des bois à l’écart de la plage et de la piste cyclable qui la borde, je trouve un endroit au sein de bosquets feuillus qui nous cache de la vue des possibles promeneurs.

Myriam commence par embrasser son mari qui n’hésite pas à relever sa petite jupe pour que je puisse à loisir profiter de la beauté des petites fesses offertes. C’est donc tout naturellement qu’une de mes mains part à la rencontre des rondeurs  qui me sont  proposées et que l’autre s’aventure devant pour caresser le mont de vénus. Le mari me sourit et me dit que sa femme aime les caresses et bien autre choses, et qu’il adore la voir entre les mains d’un autre homme.

Je m’enhardis donc après cette révélation et je commence à dénuder la belle dont la petite robe légère tombe rapidement sur le sol. Mes mains accompagnées de celle du mari jouent avec toutes les parcelles de peau de Myriam qui pousse des petits gémissements de satisfaction. Son corps est vraiment superbe, un léger bronzage, une peau très douce dont le contact m’a déjà mis dans de belles dispositions compte tenu de la bosse qui déforme mon bermuda.

Le soutien-gorge de la belle est dégrafé et se trouve lui aussi rapidement au sol. Myriam est là entre nous parcourue par quatre mains baladeuses qui n’hésitent pas longtemps avant de faire glisser à terre la petite culotte, dernier rempart de sa nudité. Je découvre alors son minou recouvert d’une fine et délicate toison que l’on devine soigneusement entretenue.

Bernard entreprend alors de se dénuder à son tour, et c’est Myriam encouragée par son époux qui se charge de me dévêtir. Mon tee-shirt est ôté par ses soins et elle en profite pour me caresser la poitrine et me titiller légèrement les tétons puis c’est à mon bermuda qu’elle s’en prend. Quand je me rends à cette plage, je ne mets pas de slip de bain sous mon bermuda et quand elle le fait glisser elle ne peut que constater l’émoi dans lequel son corps m’a mis. Ma verge dure et raide, massive au gland proéminant jaillit promptement du bermuda. Je me trouve donc nu à mon tour avec ce couple et Bernard propose donc à Myriam de ne pas me laisser dans un tel état. De son côté aussi, il arbore une belle érection, sa verge est plutôt dans la moyenne et bien plus fine que la mienne.

La main de Myriam se pose donc délicatement sur ma verge pour l’emprisonner de ses doigts et la branler doucement. J’en profite pour lui caresser les seins dont les tétons sont un appel à la gourmandise. Bernard derrière elle, lui caresse le dos, les fesses, les hanches, glisse parfois quelques doigts entre ses cuisses pour atteindre sa chatte. Quatre mains parcourent Myriam, et ma langue joue avec ses tétons.

Au bout de quelques minutes de ce manège, c’est Bernard qui appuie sur les épaules de Myriam pour lui faire comprendre de passer maintenant à une autre étape dans notre relation. Docile elle se met donc à genoux devant moi, mon sexe face à ses lèvres et c’est tout naturellement qu’elle commence à me pratiquer une douce pipe. On voit qu’elle en a l’habitude car elle est tout en recherche des zones les plus sensibles de mon membre et sait s’y attarder pour me faire gémir de plaisir. Pendant ce temps Bernard à nos côtés admire sa femme en train de sucer un autre homme tout en se masturbant et c’est tout naturellement que ma main prend le relais de la sienne pour son plus grand plaisir.  Je demande alors à Bernard de s’approcher aussi un peu plus et je propose alors à Myriam de prodiguer sa pipe aux deux queues qu’elle a à sa disposition. Elle ne se fait pas prier, passant de l’une à l’autre, tout en nous caressant doucement les testicules.

Après quelques minutes de ce divin traitement Bernard me demande si je souhaite prendre Myriam. J’y pense déjà depuis un bon moment et ne voulant pas brusquer les choses cette proposition tombe à pic.

Bernard étale par terre la serviette de bain qu’ils ont amenée dans le cas d’une baignade et il demande à Myriam de s’y mettre. Ma bite est abandonnée par les lèvres expertes de Myriam qui s’allonge alors sur la serviette en ouvrant légèrement ses cuisses pour me proposer son petit chaton dont les lèvres sont déjà toutes luisantes de désir.

Je décide donc de commencer par m’intéresser à ce petit minou et je le caresse délicatement pour ouvrir le coquillage. Je fais ensuite  sortir de son écrin un adorable et sensible clitoris qui fait gémir la belle quand ma langue joue avec lui. Le parfum de la chatte et le goût de la liqueur de Myriam sont des plus enivrants et mon sexe est tendu à l’extrême.

Bernard me tend alors un préservatif que je me hâte d’enfiler et je m’allonge alors entre les cuisses de Myriam. Mon gland bute contre l’entrée de sa grotte et bien que sa chatte soit humide ma bite rencontre quelques résistances avant de pouvoir investir totalement la belle qui gémit fortement lors de l’intromission. Il est vrai que mon calibre n’est pas comparable à celui de son mari. Son antre est chaud et serré et je commence à m’activer en elle, la faisant soupirer à chaque poussée.

Pendant ce temps Bernard joue le voyeur en se faisant caresser le membre par le bras tendu de madame. Allongé sur Myriam, je la besogne en l’embrassant dans le cou  en lui disant que sa chatte est bonne, que je suis heureux de les avoir rencontrés ce matin. A son tour elle me glisse à l’oreille que ma queue est grosse, lui fait du bien, qu’elle va bientôt jouir, mais que je dois me réserver aussi pour son mari car elle souhaite que le l’encule après. L’idée de me faire monsieur après madame ne me gêne aucunement et c’est une chance que je ne sois pas du genre à éjaculer trop promptement.

Soudain Myriam part dans une série de gémissements assez bruyants que je dois étouffer en mettant ma main sur sa bouche afin éviter d’alerter d’éventuels promeneurs. Sa chatte se contracte plusieurs fois convulsivement sous l’orgasme qui parcourt tout son corps.

Bernard s’approche alors d’elle pour l’embrasser amoureusement sur les lèvres et après ce long baiser elle lui susurre quelques mots à l’oreille que je n’entends pas clairement.

Je quitte le fourreau humide de l’entrejambe de Myriam et Bernard s’empresse à son tour d’approcher ses lèvres du minou pour s’abreuver des liqueurs de sa femme. Il se met à genoux entre les cuisses de Madame, le nez enfouit entre ses cuisses.

Myriam me regarde avec malice, en montrant de la main la croupe offerte de son mari.

Le cul de Bernard est là devant moi, deux petites fesses imberbes dont le sillon entrouvert laisse apparaître une rondelle étoilée. Je m’approche alors de la croupe de Bernard et je commence par lui caresser les fesses, ce qui le fait tressaillir légèrement mais sans qu’il manifeste d’opposition. Le bougre a certainement été averti par madame de la suite qu’elle envisage pour lui.

A l’aide d’un doigt que j’ai préalablement mouillé je teste la souplesse de son anus. La rondelle de Bernard ne doit pas être visitée souvent car son trou du cul était assez serré et compte-tenu de la taille de mon engin il va certainement déguster. Mais peut-il refuser à Madame le plaisir de voir son mari se faire sodomiser.

J’approche mon visage de son derrière pour lui faire une feuille de rose de manière à y déposer une maximum de salive et il semble particulièrement apprécier ce contact.

Puis toujours équipé de la capote qu’il m’a donné sauter sa femme, je pointe mon gland sur sa rondelle. En le tenant fermement par les hanches, je pousse ma queue contre son orifice qui refuse au début de se laisser facilement investir. Myriam s’est assise maintenant de manière à mieux profiter du moment et à soutenir Bernard toujours à quatre pattes la tête sur la serviette.

L’anneau de son cul finit par doucement s’ouvrir sous la pression de ma bite et Bernard commence à fortement gémir. Le gland pénètre entièrement dans son cul lui arrachant un cri de douleur que sa femme essaye d’atténuer par quelques baisers. Elle me regarde en souriant et en m’encourageant à aller encore plus profond dans le cul de son homme. Je pousse encore et ma verge prend progressivement sa place à l’intérieur des entrailles de Bernard qui gémit de plus belle. Je demande à Myriam de le faire taire car même si nous sommes isolés, on peut nous entendre d’assez loin. Elle lui met donc la main sur la bouche pour limiter la portée de ses gémissements.

J’en profite pour l’investir complétement et mes couilles entrent alors en contact avec les siennes pour le plus grand plaisir de madame qui dit à son mari qu’il a ma bite toute entière dans le fondement.

Je reste figé en lui quelques instants pour qu’il s’habitue à l’intrusion qui remplit son rectum et je commence ensuite mes allers et venues. Chacun de mes mouvements le fait couiner comme une gonzesse et je lui bourre le cul sans ménagement sous le regard complice de sa femme qui lui branle maintenant la bite.

Le bruit de nos ébats n’a pas été suffisamment discret car j’aperçois un peu à l’écart un homme la queue à la main qui s’astique en nos regardant. Je lui fais signe de ne pas bouger pour profiter en silence du spectacle sans gêner le couple.

Je ramone longuement le cul de Bernard qui semble maintenant moins souffrir, les gémissements n’étant plus vraiment les mêmes. Je sors parfois complètement de son cul pour regarder le trou béant écarlate et y replonger ma verge d’un seul coup le faisant alors couiner de plus belle.

Au bout de quelques minutes de ce traitement je sens soudainement ses sphincters se contracter à plusieurs reprises accompagnés de soupirs qui révèlent qu’il était en train de jouir en répandant son foutre dans la main de Myriam.

Notre voyeur en fit d’ailleurs de même car je vois distinctement deux ou trois jets blancs sortirent de sa bite.

Pour ma part je continue à défoncer Bernard pendant encore quelques instants avant de pouvoir me libérer en longs jets crémeux dans son ventre.

Je quitte le fourreau de son cul, la capote remplit de foutre, et Bernard reprend doucement ses esprits le fondement endolori mais heureux.

Nous nous rhabillons ensuite tout en discutant, et j’apprends que si Bernard a déjà connu des pénétrations anales auparavant ce n’est que par les petits godemichets de Myriam et qu’elle l’a convaincu de venir faire un tour par ici dans l’intention de lui faire perdre son pucelage anal. Ma bite est donc la première à avoir défoncé et visité son cul. Il est content d’avoir réussi à franchir ce pas bien que son postérieur devra s’en souvenir pendant quelques jours…

Je les remercie pour cette agréable rencontre et chacun repris son chemin.

 

Je ne les ai plus jamais revu dans le coin malheureuseme

Par balsamo70 - Publié dans : Histoires
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Dimanche 3 janvier 7 03 /01 /Jan 18:57

Au sauna (histoire vraie)

 

Comme je l’avais dernièrement promis à un contact de X Hamster, je vais vous raconter mon passage dernier au sauna « Le réservoir » de Besançon que je fréquente de temps à autre.

En fait étant souvent occupé par des activités de volontariat, je m’absente assez régulièrement de mon domicile familial et cela me permet quelques escapades certains après-midi sous couvert de ces activités volontaires. Oui je sais je devrais avoir honte mais ce moment de honte est si vite passé…

Donc, tout le lundi j’ai assuré les fonctions de mon volontariat et le lendemain mardi, je ne prends que la matinée, le reste de la journée est à moi. Cap sur Besançon, le sauna ouvre à 14h00, pas de temps à perdre il est déjà 13h00, un sandwich en route fera l’affaire. Il me faut arriver au plus près de l’ouverture car la fréquentation dès l’ouverture est constituée de personnes plus actives qui repartent avant 15h00 certainement pour honorer leurs activités professionnelles. Après la période est en général beaucoup plus calme jusqu’à reprendre en intensité vers 17h00.

Me voilà enfin dans le quartier, la recherche d’une place dispo pour stationner à proximité est parfois un challenge, mais ce jour la chance semble me sourire, une place me tend les bras dans une rue parallèle.

Une fois garée, je me dirige vers l’établissement, discret, il faut savoir que c’est un sauna. Un porte blanche presque anodine, je rentre et règle mon entrée au réceptionniste en boxer qui est très sympa. Il me donne une serviette et l’étui qui comporte mon cadenas numéroté accompagné d’un préservatif et d’une dose de gel lubrifiant. Puis il commande l’ouverture de la porte qui me donne accès au vestiaire.

Je choisis un casier et y dépose mes affaires au fur et à mesure de mon déshabillage, le cadenas sur mon casier, la serviette autour du corps et je pénètre dans les lieux pour rejoindre les douches.

Attention au choix de la douche car certaines sont volontairement froides, mais l’habitude me permet de connaître suffisamment les lieux pour éviter une douche froide.

Le gel douche qui est mis à la disposition des clients est très agréable, une petite odeur d’amende, et surtout il ne pique les yeux ni un autre endroit que je m’amuse à nettoyer longuement de mes doigts dans l’objectif de le préparer un peu. Et je glisse une petite dose de ce gel dans mon conduit en guise de première lubrification.

Puis je pars à l’aventure et me dirige vers une zone sombre dont l’entrée est matérialisée par un sorte de rideau, l’endroit est le lieu idéal pour passer un moment bien chaud, il y fait quasiment noir et les mains sont donc très baladeuses pour remplacer la vue.  Je pénètre dans l’endroit qui est  assez exigu mais dans lequel une dizaine de personnes peuvent s’y tenir debout et assise sur une banquette. Dès l’entrée j’entre ne contact avec des jambes qui m’indiquent que quelqu’un est assis sur le banquette. J’approche encore et laisse courir ma main le long d’une jambe, ma main remonte et rencontre deux belles couilles volumineuses et terminent par la découverte d’une belle verge fièrement érigée. Ni une, ni deux, j’enveloppe le membre et commence à faire délicatement coulisser ma main pour le plus grand plaisir de son propriétaire qui gémit timidement.

Ma caresse se prolonge quelques minutes et je m’agenouille entre les jambes de l’individu pour introduire délicatement son membre dans ma bouche. Il ne s’y oppose nullement écartant un peu plus ses jambes pour faciliter mon approche. Son membre  est de bonnes proportions mais sans plus et je peux sans difficultés l’introduire dans ma bouche et lui prodiguer une bonne pipe. C’est un de mes plaisirs favoris, je pratique la fellation assez fréquemment et nombreux sont les partenaires qui m’ont dit que je faisais cela très bien. J’aime insister avec ma langue sur le méat et autour du gland, en général cela génère presque toujours des gémissements approbateurs chez le partenaire. Le mien commence à montrer des signes de montée de plaisir annonciateur d’éjaculation et gentiment il me fait comprendre qu’il ne veut pas jouir de suite de manière à profiter un peu plus longtemps de son séjour au sauna. Je l’embrasse délicatement sur la bouche, me relève et quitte l’endroit pour me rendre vers un lieu que j’affectionne assez.

Un peu plus loin dans un passage sombre permettant l’accès à deux parties distinctes du sauna, se trouve une banquette basse sur laquelle on peut s’allonger. L’endroit est libre, j’y étends ma serviette et m’allonge sur le ventre les jambes légèrement écartées, les mains  sur ma tête me permettant tout de même d’avoir un œil sur le passage.

Après plusieurs passages de clients qui m’ignorent, à chaque passage je peux ressentir le léger courant d’air, je sens soudain une main se poser sur mes fesses et les caresser ce qui me fait légèrement sursauter. Le contact est doux la main me caresse doucement et est rejoint par une deuxième qui s’attarde un peu sur mon entrejambe et ms testicules. L’individu s’assoit sur le bord de la banquette pour être plus à son aise et poursuit la découverte de mon fessier. Il en écarte délicatement les deux lobes pour tester la souplesse de ma rondelle qui encore humide du gel de douche. Un doigt inquisiteur se glisse dans mon anus m’arrachant un petit gémissement approbateur qui encourage mon bourreau à l’introduire en totalité pour mieux découvrir la douceur de mon antre. Ce manège dure plusieurs minute, un deuxième doigt à rejoint le premier, l’aitre main est caressante sur mes fesses et mon dos et me procure de délicieux frissons de bien-être.

Puis les doigts me délaissent et l’individu monte sur la banquette en se positionnant entre mes jambes qu’il écarte un peu plus. J’entends distinctement la déchirure d’un étui qui me laisse rêveur sur la suite des événements. Je ne sais même pas comment est le sexe qui va bientôt me pénétrer, peut-être est-il hors du commun et va me faire souffrir. L’homme se couche sur mon dos en m’embrassant légèrement dans le cou et me glisse à l’oreille « tu es prêt pour la suite ?». Je réponds un timide « oui, vas-y » tout en glissant mon bras entre nos deux corps pour découvrir le calibre du membre de l’homme. La bite est respectable mais dans la norme, elle est d’une fermeté qui est de bon augure, et la capote est bien en place.

Je me laisse donc faire soumis sous mon homme, le gland vient en contact avec ma rondelle et son propriétaire force doucement pour l’ouvrir. Je sens mes sphincters céder doucement la place à l’intrus qui progresse en moi me provoquant une très légère douleur et un gémissement plaintif qui me vaut un nouveau baiser dans le cou. Puis c’est la totalité du sexe qui m’investit doucement jusqu’à sentir les testicules de l’homme cogner contre mon entrejambe. Je suis totalement embroché et la sensation d’être rempli est totale. Puis après quelques instants pour me laisser m’habituer à cette intrusion, le va et vient commence doucement puis plus amplement, en me faisant gémir régulièrement de plaisir. Mon érection est complète mais comprimé par mon corps allongé, mais c’est mon anus que j’ai particulièrement sensible qui me donne le plus de plaisir et je ne cherche même pas à me caresser.

Mon homme s’active dans mon fondement en me complimentant sur mon petit cul qu’il semble adorer. Il me vante son étroitesse qui lui enserre bien sa bite et qui est un vrai bonheur. Pendant ce temps un autre mec s’est arrêté dans le passage pour profiter du spectacle qui le met dans les meilleures dispositions compte tenu de la belle érection qu’il affiche. Son sexe est long et épais et légèrement incurvé vers le bas. Après avoir profité du spectacle quelques instants, il s’approche de moi et me propose sa verge comme gourmandise. Je ne fais pas prier et attaque du mieux que je peux une pipe à l’organe. Tous mes orifices sont occupés et comblés par de belles tiges que je cherche à satisfaire au mieux.

Mon enculeur s’active et je sens soudain qu’il m’occupe plus magistralement en grognant de plaisir. Sa verge par longues saccades se libère dans le fin réceptacle et l’homme s’affaisse sur moi en soufflant son plaisir. Satisfait il se retire, mon orifice encore largement dilaté me donne une drôle d’impression de vide, mais très rapidement le trou béant est investi par le sexe qui a juste quitté ma bouche il y a quelques secondes. Inquiet, je cherche sa verge introduite dans mon cul et constate l’absence de capote. Je l’oblige brutalement à sortir pour s’équiper et me laisse alors pénétrer par cette queue plus volumineuse que la précédente.

La chevauchée est rapide et il se libère en peu de temps dans mon anus protégé.

Satisfait mais un peu fourbu, je me dirige vers les douches pour me retaper un peu et l’eau tiède m’aide à apaiser l’inflammation qui me rappelle mes dernières visites anales.

 

(À suivre)

Le gel que j’utilise pour me nettoyer plus intimement me pique un peu preuve que j’ai sérieusement dégusté avec ces deux bites successives.

Puis après cette douche réparatrice, je me sens à nouveau d’attaque pour profiter de l’endroit et de la petite heure qui me reste avant de devoir rentrer compte tenu de mon délai de route.

Je vérifie de disposer encore d’une capote et de gel dans mon étui que j’ai au mollet, je prends une dose de gel au distributeur, m’isole dans une cabine et me lubrifie copieusement le conduit au cas où…

Je me dirige à nouveau vers le lieu sombre que j’avais initialement visité, il semble y avoir personne tellement il fait noir et tout en avançant à tâtons je rencontre soudain un autre corps plaqué contre le mur du fond de l’endroit. La personne offre son dos et ses fesses à mes mains et je n’hésite pas une seconde à partir à leur découverte. L’individu me semble d’une taille égale à la mienne, son corps est plutôt musclé sans trop et ses fesses sont petites et fermes. Il me semble bien plus jeune que le quinqua que je suis. Je caresse avec plaisir ses petites fesses qui sont particulièrement douces car exemptes de toute pilosité. Mon autre main part à la découverte de son ventre aux abdominaux biens marqués et remonte doucement vers la poitrine pour caresser son téton qui se durcit soudainement sous ma caresse.

Je sens la main de mon partenaire partir à la recherche de mon sexe que ma serviette entoure encore. Je lui facilite la tâche en défaisant ma serviette et en la positionnant autour de mon cou.

Il peut alors à loisir s’assurer de la dimension et de la vigueur de mon érection que la douceur de son petit derrière a su réveiller en moi. Il masturbe  lentement mon organe en me caressant de temps en temps les couilles, moi je continue ma caresse sur ses petites fesses et insinue doucement un doigt entre elles pour tester l’élasticité de son antre. Son anus est porte bien le nom de rondelle, car je sens un petit trou bien circulaire dont le pourtour est imberbe. Je cherche à rentrer doucement mon doigt qui rencontre quelque difficulté à investir l’endroit qui est particulièrement serré. Je le retire pour le lubrifier d’un peu de ma salive et je retourne à l’assaut. L’anus se laisse alors doucement conquérir et son propriétaire émet un léger gémissement d’approbation.

Ce petit jeu de mains et de doigt dure quelques minutes et notre plaisir est mutuel. Mon partenaire se décolle alors du mur pour venir mettre ses mains en appui sur la banquette à sa gauche, le corps penché vers celle-ci offrant plus encore son postérieur à mon doigt fureteur qui est maintenant bien enfoncé dans son conduit. L’intérieur est tiède et d’une attirante étroitesse. Rien à voir avec les culs qui se font tellement ramoner que l’on a l’impression de nager dedans.

Le jeune homme semble apprécier mon l’exploration de mon doigt et gémit de plus en plus souvent à tel point que je retire mon doigt pour me saisir d’un préservatif dont je m’équipe et je présente mon gland à l’entrée de ce petit derrière. Malgré la pression que j’exerce sur l’anus celui-ci résiste à s’ouvrir, et après plusieurs tentatives infructueuses, je déchire l’emballage d’une dose de gel pour en garnir abondamment l’anus mutin et ma verge qui s’impatiente.

Je ne suis pourtant équipé comme un âne, mais mon sexe en malgré tout dans la bonne moyenne et ce petit cul est digne d’un puceau. Je me présente à nouveau entre les petites fesses, la verge maintenue  d’une main ferme, et je pousse mon gland contre ce petit trou du cul. Le gel semble faire son office car les gémissements de mon partenaire montent en puissance quand mon gland investit doucement son conduit. L’anneau m’enserre le gland comme je l’ai encore jamais ressenti et je poursuis ma progression dans les entrailles de mon partenaire qui souffle de plus en plus forts, gémit maintenant sans retenu et souffre certainement aussi un peu.

Tout me sexe l’investit, et bien calé en lui j’attends qu’il s’habitue à cette intrusion avant commencer à le limer. D’une de ses mains il part à la découverte de mes testicules qu’il caresse pour me faire comprendre que je peux maintenant m’activer en lui.  Je n’hésite pas un instant et je commence à le baiser, d’abord doucement puis au fil de ses gémissements qui m’encourage je le besogne de plus en plus profondément à chaque mouvement.

Notre activité et nos soupirs n’a pas laissé insensible un visiteur qui s’est approché de moi et accompagne mes mouvements de sa main sur mon postérieur. Cette caresse m’est très agréable et je le laisse volontairement se positionner contre mes fesses pendant que je m’active dans mon partenaire. Sa verge sur mes fesses me semble de bonne longueur et un de ses doigts cherche mon derrière qu’il pénètre sans trop de difficulté compte-tenu des visites qu’il a déjà connu.

Il me fourre l’anus de ses doigts pendant que je lime mon partenaire et chacun de mes mouvements de retrait enfonce alors son doigt. C’est un vrai régal, l’enculeur enculé. Mais le manège évolue quand je sens que le doigt est rapidement remplacé par sa verge. Ma main part à sa rencontre et constate avec soulagement que le nouveau venu s’était déjà équipé, il avait prémédité sa participation. Il s’enfonce alors brutalement dans mon fondement qui n’oppose aucune résistance sauf à m’occasionner une légère douleur qui me fait pousser un grognement indicatif. Mon jeune enculé comprend ce qui vient de passer car sous la pression de la bite qui m’encule je viens d’arrêter mes mouvements et il s’empresse de me caresser  à nouveau les testicules tout en cherchant à vérifier la fermeté du mandrin qui m’encule.

Notre trio s’active à nouveau, le mouvement de la bite dans mon cul bat la mesure de notre partition et je sens que je vais rapidement jouir tant ma verge est divinement enserrée dans le fourreau du jeune homme que j’encule, et tant mon anus et ma prostate sont stimulés par le morceau de chair qui me défonce le cul.

Dans un grand râle de jouissance je me libère dans l’anus de mon partenaire qui se branle frénétiquement. En longues giclées successives, je remplis de mon foutre le capote qui m’équipe et dans mon dos un grognement suivit de plusieurs contractions significatives m’avertissent que mon enculeur jouit à son tour. La verge grossit encore dans mon cul durant cette éjaculation ce qui m’occasionne encore quelques gémissements compte-tenu de la sensibilité qui règne dans mon conduit.

Puis nous nous désaccouplons satisfaits et vidés, et quittons l’endroit. Quelques instants après m’être remis de mes émotions, je décide de me doucher avant de me rhabiller pour quitter l’établissement, et j’imagine que le jeune homme que je vois en train de se doucher, moins de 25ans, un petit cul adorable, est certainement celui que j’ai baisé.

Je quitte par la suite le sauna, content de mon escapade, chaque pas que je fais entraîne une légère gêne anale qui rappelle les délicieux moments que j’ai passés dans ce sauna.

Sur le chemin du retour, je suis déjà en train de chercher dans mon emploi du temps l’opportunité d’y retourner…

Par balsamo70 - Publié dans : Histoires
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