Plage « Les Combots »
Grace au confinement qui nous donne le temps d’écrire, je vais vous raconter une aventure véridique qui m’est arrivée il y a quelques années sur la côte Royannaise.
Disposant de certains membres de ma famille à proximité de Royan, il m’arrive assez régulièrement de leur rendre visite pendant la saison estivale et parfois hors saison lorsque la côte est moins fréquentée, mais cette aventure m’est advenue à l’occasion d’un de mes séjours d’été.
Connaissant bien la région pour y avoir vécu moi-même, désormais mes activités professionnelles m’en ont bien éloigné, je sais que la plage naturiste « Les Combots » sur la grande côte à Saint-Palais en direction de la Palmyre, mais surtout les dunes boisées qui la bordent sont propices aux rencontres plutôt masculines et je la fréquente dès que l’occasion me le permet. Je précise plutôt masculine car il est vrai que le coin est principalement fréquenté par les homo. Les bisexuels y sont aussi assez représentés et les couples s’adonnent parfois à l’exhibition à l’écart de la plage. Je pourrai vous raconter les diverses aventures et moments chauds que j’y ai vécu mais cela prendrait trop de temps aussi je me contenterai de vous rapporter une aventure qui est resté gravé dans ma mémoire tant elle fut agréable.
Etant en famille, la bienséance ne me permettait pas de l’abandonner l’après-midi aussi je profitais assez régulièrement de la matinée, alors que les femmes étaient en courses ou au fourneau, pour aller un peu me promener seul ou faire semblant d’aller pêcher…on sait que le poisson n’est pas affamé tous les jours et une bredouille n’étonne plus.
Ce jour-là donc, par une matinée douce et ensoleillée, je me rends de bonne heure en voiture sur le parking de la plage « Les Combots ». Il y a peu de voitures car il est juste 10h, mais le rush des vacanciers ne saurait tarder. Je suis légèrement vêtu, tee-shirt, bermuda et sandales. Je prends le côté de la piste cyclable pour rejoindre un chemin qui donne accès à la plage un peu plus loin sur la gauche et qui est le domaine des mecs en quête de rencontre.
Le coin est plutôt tranquille pour l’instant, je prends ensuite le sentier qui mène vers la plage quand j’aperçois sur ma droite un couple qui est arrêté dans les fourrés à une vingtaine de mètres à l’écart. Ils se tiennent là debout et dans un premier temps j’essaie de ne pas m’approcher pour éviter de les importuner car il y a aussi potentiellement des promeneurs et des familles, tous ne sont pas systématiquement des adeptes des plans cul.
Cependant l’attitude de ce couple dont l’homme me voit et me regarde ostensiblement alors que madame est de dos me décide à me rapprocher un peu. Je constate alors que monsieur est en train de caresser les fesses de madame. La jupe est relevée et il semble prendre plaisir à exhiber les fesses de sa partenaire dont une adorable petite culotte essaie vainement de masquer les formes attrayantes. Mon approche ne génère aucune gêne de la part de l’homme qui continue à profiter des fesses qui lui sont offertes tout en me regardant.
Je m’approche encore et ma présence est maintenant révélée à madame et cela ne semble pas les perturber le moins du monde. Arrivé à leur hauteur, je m’enhardis donc un peu et mes mains se joignent à celles du mari pour flatter la croupe de madame qui en tournant la tête me dévisage alors en souriant.
Puis nous engageons discrètement la conversation. Ils m’expliquent qu’ils sont en vacances et qu’ils ont appris par internet que cette plage était un lieu de rencontre et qu’ils ont décidés d’aller y faire un petit tour matinal pour voir et profiter éventuellement du lieu. Je leur explique donc les habitudes du secteur plutôt homo et bi, mais parfois fréquenté par des couples naturistes. Sachant que le coin risque de ne pas rester calme longtemps, je leur propose de rentrer un peu plus dans les bois qui bordent la plage pour être à l’abri du va et vient des possibles voyeurs et de la lourdeur de certains.
Accompagné de Myriam et de son mari Bernard, nous avons fait rapidement connaissance, je les guide vers un endroit plus propice à l’intimité que nous souhaitons.
Myriam est une belle femme certainement proche de la cinquantaine bien conservé et affriolante dans sa petite robe légère à bretelles. Bernard est dans la même tranche d’âge, allure très classe, svelte et sportive, en chemisette et un pantalon clair en toile. Charmant petit couple.
Après quelques minutes de progression au sein des bois à l’écart de la plage et de la piste cyclable qui la borde, je trouve un endroit au sein de bosquets feuillus qui nous cache de la vue des possibles promeneurs.
Myriam commence par embrasser son mari qui n’hésite pas à relever sa petite jupe pour que je puisse à loisir profiter de la beauté des petites fesses offertes. C’est donc tout naturellement qu’une de mes mains part à la rencontre des rondeurs qui me sont proposées et que l’autre s’aventure devant pour caresser le mont de vénus. Le mari me sourit et me dit que sa femme aime les caresses et bien autre choses, et qu’il adore la voir entre les mains d’un autre homme.
Je m’enhardis donc après cette révélation et je commence à dénuder la belle dont la petite robe légère tombe rapidement sur le sol. Mes mains accompagnées de celle du mari jouent avec toutes les parcelles de peau de Myriam qui pousse des petits gémissements de satisfaction. Son corps est vraiment superbe, un léger bronzage, une peau très douce dont le contact m’a déjà mis dans de belles dispositions compte tenu de la bosse qui déforme mon bermuda.
Le soutien-gorge de la belle est dégrafé et se trouve lui aussi rapidement au sol. Myriam est là entre nous parcourue par quatre mains baladeuses qui n’hésitent pas longtemps avant de faire glisser à terre la petite culotte, dernier rempart de sa nudité. Je découvre alors son minou recouvert d’une fine et délicate toison que l’on devine soigneusement entretenue.
Bernard entreprend alors de se dénuder à son tour, et c’est Myriam encouragée par son époux qui se charge de me dévêtir. Mon tee-shirt est ôté par ses soins et elle en profite pour me caresser la poitrine et me titiller légèrement les tétons puis c’est à mon bermuda qu’elle s’en prend. Quand je me rends à cette plage, je ne mets pas de slip de bain sous mon bermuda et quand elle le fait glisser elle ne peut que constater l’émoi dans lequel son corps m’a mis. Ma verge dure et raide, massive au gland proéminant jaillit promptement du bermuda. Je me trouve donc nu à mon tour avec ce couple et Bernard propose donc à Myriam de ne pas me laisser dans un tel état. De son côté aussi, il arbore une belle érection, sa verge est plutôt dans la moyenne et bien plus fine que la mienne.
La main de Myriam se pose donc délicatement sur ma verge pour l’emprisonner de ses doigts et la branler doucement. J’en profite pour lui caresser les seins dont les tétons sont un appel à la gourmandise. Bernard derrière elle, lui caresse le dos, les fesses, les hanches, glisse parfois quelques doigts entre ses cuisses pour atteindre sa chatte. Quatre mains parcourent Myriam, et ma langue joue avec ses tétons.
Au bout de quelques minutes de ce manège, c’est Bernard qui appuie sur les épaules de Myriam pour lui faire comprendre de passer maintenant à une autre étape dans notre relation. Docile elle se met donc à genoux devant moi, mon sexe face à ses lèvres et c’est tout naturellement qu’elle commence à me pratiquer une douce pipe. On voit qu’elle en a l’habitude car elle est tout en recherche des zones les plus sensibles de mon membre et sait s’y attarder pour me faire gémir de plaisir. Pendant ce temps Bernard à nos côtés admire sa femme en train de sucer un autre homme tout en se masturbant et c’est tout naturellement que ma main prend le relais de la sienne pour son plus grand plaisir. Je demande alors à Bernard de s’approcher aussi un peu plus et je propose alors à Myriam de prodiguer sa pipe aux deux queues qu’elle a à sa disposition. Elle ne se fait pas prier, passant de l’une à l’autre, tout en nous caressant doucement les testicules.
Après quelques minutes de ce divin traitement Bernard me demande si je souhaite prendre Myriam. J’y pense déjà depuis un bon moment et ne voulant pas brusquer les choses cette proposition tombe à pic.
Bernard étale par terre la serviette de bain qu’ils ont amenée dans le cas d’une baignade et il demande à Myriam de s’y mettre. Ma bite est abandonnée par les lèvres expertes de Myriam qui s’allonge alors sur la serviette en ouvrant légèrement ses cuisses pour me proposer son petit chaton dont les lèvres sont déjà toutes luisantes de désir.
Je décide donc de commencer par m’intéresser à ce petit minou et je le caresse délicatement pour ouvrir le coquillage. Je fais ensuite sortir de son écrin un adorable et sensible clitoris qui fait gémir la belle quand ma langue joue avec lui. Le parfum de la chatte et le goût de la liqueur de Myriam sont des plus enivrants et mon sexe est tendu à l’extrême.
Bernard me tend alors un préservatif que je me hâte d’enfiler et je m’allonge alors entre les cuisses de Myriam. Mon gland bute contre l’entrée de sa grotte et bien que sa chatte soit humide ma bite rencontre quelques résistances avant de pouvoir investir totalement la belle qui gémit fortement lors de l’intromission. Il est vrai que mon calibre n’est pas comparable à celui de son mari. Son antre est chaud et serré et je commence à m’activer en elle, la faisant soupirer à chaque poussée.
Pendant ce temps Bernard joue le voyeur en se faisant caresser le membre par le bras tendu de madame. Allongé sur Myriam, je la besogne en l’embrassant dans le cou en lui disant que sa chatte est bonne, que je suis heureux de les avoir rencontrés ce matin. A son tour elle me glisse à l’oreille que ma queue est grosse, lui fait du bien, qu’elle va bientôt jouir, mais que je dois me réserver aussi pour son mari car elle souhaite que le l’encule après. L’idée de me faire monsieur après madame ne me gêne aucunement et c’est une chance que je ne sois pas du genre à éjaculer trop promptement.
Soudain Myriam part dans une série de gémissements assez bruyants que je dois étouffer en mettant ma main sur sa bouche afin éviter d’alerter d’éventuels promeneurs. Sa chatte se contracte plusieurs fois convulsivement sous l’orgasme qui parcourt tout son corps.
Bernard s’approche alors d’elle pour l’embrasser amoureusement sur les lèvres et après ce long baiser elle lui susurre quelques mots à l’oreille que je n’entends pas clairement.
Je quitte le fourreau humide de l’entrejambe de Myriam et Bernard s’empresse à son tour d’approcher ses lèvres du minou pour s’abreuver des liqueurs de sa femme. Il se met à genoux entre les cuisses de Madame, le nez enfouit entre ses cuisses.
Myriam me regarde avec malice, en montrant de la main la croupe offerte de son mari.
Le cul de Bernard est là devant moi, deux petites fesses imberbes dont le sillon entrouvert laisse apparaître une rondelle étoilée. Je m’approche alors de la croupe de Bernard et je commence par lui caresser les fesses, ce qui le fait tressaillir légèrement mais sans qu’il manifeste d’opposition. Le bougre a certainement été averti par madame de la suite qu’elle envisage pour lui.
A l’aide d’un doigt que j’ai préalablement mouillé je teste la souplesse de son anus. La rondelle de Bernard ne doit pas être visitée souvent car son trou du cul était assez serré et compte-tenu de la taille de mon engin il va certainement déguster. Mais peut-il refuser à Madame le plaisir de voir son mari se faire sodomiser.
J’approche mon visage de son derrière pour lui faire une feuille de rose de manière à y déposer une maximum de salive et il semble particulièrement apprécier ce contact.
Puis toujours équipé de la capote qu’il m’a donné sauter sa femme, je pointe mon gland sur sa rondelle. En le tenant fermement par les hanches, je pousse ma queue contre son orifice qui refuse au début de se laisser facilement investir. Myriam s’est assise maintenant de manière à mieux profiter du moment et à soutenir Bernard toujours à quatre pattes la tête sur la serviette.
L’anneau de son cul finit par doucement s’ouvrir sous la pression de ma bite et Bernard commence à fortement gémir. Le gland pénètre entièrement dans son cul lui arrachant un cri de douleur que sa femme essaye d’atténuer par quelques baisers. Elle me regarde en souriant et en m’encourageant à aller encore plus profond dans le cul de son homme. Je pousse encore et ma verge prend progressivement sa place à l’intérieur des entrailles de Bernard qui gémit de plus belle. Je demande à Myriam de le faire taire car même si nous sommes isolés, on peut nous entendre d’assez loin. Elle lui met donc la main sur la bouche pour limiter la portée de ses gémissements.
J’en profite pour l’investir complétement et mes couilles entrent alors en contact avec les siennes pour le plus grand plaisir de madame qui dit à son mari qu’il a ma bite toute entière dans le fondement.
Je reste figé en lui quelques instants pour qu’il s’habitue à l’intrusion qui remplit son rectum et je commence ensuite mes allers et venues. Chacun de mes mouvements le fait couiner comme une gonzesse et je lui bourre le cul sans ménagement sous le regard complice de sa femme qui lui branle maintenant la bite.
Le bruit de nos ébats n’a pas été suffisamment discret car j’aperçois un peu à l’écart un homme la queue à la main qui s’astique en nos regardant. Je lui fais signe de ne pas bouger pour profiter en silence du spectacle sans gêner le couple.
Je ramone longuement le cul de Bernard qui semble maintenant moins souffrir, les gémissements n’étant plus vraiment les mêmes. Je sors parfois complètement de son cul pour regarder le trou béant écarlate et y replonger ma verge d’un seul coup le faisant alors couiner de plus belle.
Au bout de quelques minutes de ce traitement je sens soudainement ses sphincters se contracter à plusieurs reprises accompagnés de soupirs qui révèlent qu’il était en train de jouir en répandant son foutre dans la main de Myriam.
Notre voyeur en fit d’ailleurs de même car je vois distinctement deux ou trois jets blancs sortirent de sa bite.
Pour ma part je continue à défoncer Bernard pendant encore quelques instants avant de pouvoir me libérer en longs jets crémeux dans son ventre.
Je quitte le fourreau de son cul, la capote remplit de foutre, et Bernard reprend doucement ses esprits le fondement endolori mais heureux.
Nous nous rhabillons ensuite tout en discutant, et j’apprends que si Bernard a déjà connu des pénétrations anales auparavant ce n’est que par les petits godemichets de Myriam et qu’elle l’a convaincu de venir faire un tour par ici dans l’intention de lui faire perdre son pucelage anal. Ma bite est donc la première à avoir défoncé et visité son cul. Il est content d’avoir réussi à franchir ce pas bien que son postérieur devra s’en souvenir pendant quelques jours…
Je les remercie pour cette agréable rencontre et chacun repris son chemin.
Je ne les ai plus jamais revu dans le coin malheureuseme